Nouveauté

Livre sur la confiance en soi
Les silences de Rochecombe
1. Léonie, au détour de l'amitié

Une personne refuse tout contact !

Est-ce une manière de cacher un manque d’estime de soi ?

Comment agir, face à quelqu’un qui ne sourit pas ?

Pouvons-nous refuser le soutien des autres ?

Un livre sur la confiance en soi.

Un livre sur l’amitié et l’amour.

Roman sur la confiance en soi Les silences de Rochecombe Léonie

Le résumé

Décembre 99, le cœur lourd, Léonie Gibert vient de raccrocher le téléphone.

Si son fils ne souhaite pas passer Noël avec elle, il a ses raisons. Mais elle refuse de les entendre.

Imaginez la détresse de cette femme, mettez-vous à sa place.

Cette situation va-t-elle la faire douter encore plus d’elle-même ?

Abandonnée par son propre fils ! Peut-elle garder confiance ? Que va-t-elle devenir ?

Voilà que Martine surgit  dans sa vie avec sa gentillesse et son enthousiasme.  Une avalanche de souvenirs assaille alors Léonie qui, pourtant, n’a pas envie de se confronter à son passé.

Qu’est-ce qui va naître de cette rencontre ?

Suivez Léonie dans son parcours aux côtés de Martine. Va-t-elle finir par accepter les  événements qui l’ont construite ?

Aidez-la dans son chemin en lisant ce livre sur la confiance en soi.

  • Est-ce trop tard pour que ce qui est sorti de l’oubli la conduise à croire  en elle et transforme son existence ?
  • Quelle tournure prendra sa vie  ?
  • Retrouvera-t-elle le sourire ?

Léonie est le premier roman de la série Les silences de Rochecombe, dans laquelle vous découvrirez :

– des secrets quasiment effacés,

– des drames et des destins brisés,

– du renouveau dans l’estime de soi,

– de l’amour qui – sous toutes ses formes – rend envisageable même ce qui semblait inaccessible.

L'histoire de Léonie, l'héroïne dans Les Silences de Rochecombe

Léonie est née en 1927. Elle a traversé son enfance dans la période de l’entre-deux-guerres, où le labeur représentait l’essentiel. À cette époque, la réflexion sur soi-même, sa propre vie, son bonheur, n’avait pas de place.

Les sentiments arrivaient dans les cœurs et étaient bien vite supplantés par les tâches multiples que l’on devait accomplir. On ne s’autorisait pas à penser à nos actions, à leurs conséquences. Les enfants devaient se taire, travailler, obéir. Dans ce cas-là, comment être sans crainte, cultiver la confiance en soi, apprendre le développement personnel, écouter l’autre, sortir de sa carapace ?

Léonie a accompli les travaux qui lui étaient dévolus. Et lorsque l’amour est venu faire chavirer son cœur, elle n’a pas eu le droit de l’accepter et de s’épanouir avec. Les habitudes, la religion, le qu’en-dira-t-on, les parents ont eu raison de ses décisions.

Comment alors avoir foi en elle-même ?

Quand Martine arrive dans sa vie, un sentiment d’insécurité l’envahit.

Elle a dû rejeter l’amour. Alors, comment être prête pour l’amitié ? Il va falloir qu’elle sorte de sa carapace, qu’elle comprenne l’importance d’être alliée avec les autres, qu’elle apprenne la coopération. Martine devra créer ce climat de confiance dont Léonie a besoin.

Il va falloir surtout que Léonie s’autorise le droit de réfléchir à tout cela pour pouvoir apporter un changement dans sa propre vie.

Vous découvrirez si elle y parvient, dans ce livre sur la confiance en soi.

Un roman sur la confiance en soi

La vie amène des problèmes, des désillusions, des échecs, des malheurs. Elle peut entraver notre progression. Parfois, la tristesse, la douleur morale, les soucis peuvent nous faire perdre la maîtrise de nous-mêmes et freiner notre évolution vers le meilleur.

Alors, dans certains cas, nous ne nous sentons plus en confiance, nous perdons toute assurance et tout sentiment de sécurité. Il est parfois difficile, dans ces conditions, d’avoir confiance en l’avenir, car on perd pied, on ne se reconnaît plus, on doute de soi.

Au début de ce livre sur la confiance en soi, Léonie craint de porter malheur : elle a perdu toute foi en elle-même, et, du coup, n’est pas prête pour l’amitié qui se présente.

En le lisant, vous suivrez son évolution vers l’apprentissage de la confiance en elle-même, l’acceptation de ce qu’elle est, et la redécouverte de l’amitié.

Vous trouverez des réponses aux problèmes qui peuvent se poser quand on a perdu tout amour de soi-même, toute estime de soi

Un extrait : la première scène de ce livre sur la confiance en soi

Prologue – Noël est une fête

         À l’autre bout du fil, la voix tente de se calmer.

– Écoute, je vais tâcher de rester poli et de ne pas trop m’énerver ! Mais, tu m’agaces à vouloir toujours faire en sorte que l’on se voie alors que tu sais très bien que c’est impossible.

– Qu’est-ce que tu racontes ?

– C’est ça, fait semblant de ne pas comprendre. Tu sais bien que le mal est fait. Nous ne sommes pas une famille unie, c’est foutu et on n’y peut plus rien.

– On pourrait peut-être essayer quand même !

         Avec fermeté, il réplique :

– Non. Et tu en connais les raisons. À chaque fois, ça me met en colère quand tu dis que tu veux nous voir.

– Justement, maintenant, je suis prête à faire quelque chose pour que ça aille mieux entre…

         Léonie Gibert n’a pas le temps de finir.

– Faire quelque chose ! Tu parles. Elle sait bien comment ça s’est passé. Le mal est fait, c’est impossible. Les tentatives qu’il y a eues ont toutes échoué parce que tu es têtue comme une mule et qu’il n’y a que toi qui comptes.

         Tout en entendant les vérités que son fils lui jette à l’autre bout du téléphone, Léonie essaye de trouver, au fond d’elle, un moyen de le faire changer d’avis. C’est vrai que la vie ne l’a pas aidée à savoir faire. Elle se veut convaincante :

– Écoute-moi, Sylvain, s’il te plaît. Fais quelque chose pour que l’on se retrouve, pour que l’on soit, pour une fois, au moins un moment ensemble à Noël.

– Pourquoi j’essaierais ? Noël est une fête que tu refuses. Comme tout moment agréable. Combien de fois tu m’as pourri la vie, au moment de Noël, parce que tu ne voulais rien faire ? Tu crois que ça me faisait plaisir, à moi, de ne rien faire pour Noël, alors que mes copains réveillonnaient avec leurs familles ? Ça a toujours été comme ça, même quand j’avais l’âge de veiller davantage. Nous étions ici, toi et moi, sans rien faire. Pas un réveillon, pas un brin de foie gras, pas une huître, rien. Tu n’aimes pas Noël, tu n’aimes pas les fêtes. Tu n’aimes pas voir les gens, tu n’aimes pas prendre du bon temps. Reconnais-le !

– Ce n’est pas de ma faute, Sylvain. Moi, je n’ai rien fait de mal.

         Il s’énerve, il s’emporte, il crie :

– Jamais, tu n’as rien fait de mal. Tu as toujours raison ! Tu es la meilleure, la plus forte, et les autres, nous ne sommes que des imbéciles.

– Je n’ai pas dit ça…

– Tu ne l’as pas dit, mais tu agis exactement comme si tu le pensais. Je n’ai rien fait à l’école, j’avais tort ! Je n’ai pas dialogué avec toi, j’avais tort ! J’ai connu Catalina, j’avais tort ! J’avais toujours tort ! Il n’y a jamais eu un moment de dialogue possible. Comment veux-tu que j’aie envie de faire Noël avec toi après ce qui s’est passé ?

– Essayons quand même !

– Mais, j’ai déjà essayé vingt fois au moins, j’ai fait tout ce que j’ai pu pour que les choses se passent mieux. Mais tu n’es qu’une égoïste. Il est inutile de tenter de se revoir tous. Ça me fait mal de savoir que, dans des moments comme ça, je ne peux pas être avec ma mère, la seule personne qui reste de ma famille à part ma femme et mes enfants. Mais je préfère éviter les conflits et ne pas passer les fêtes avec toi.

– J’aimerais tant connaître mes petits-enfants…

         Son fils voudrait éviter que le ton monte, mais n’y parvient pas : la colère gronde :

– Je me le demande, si tu aimerais. Quand nous t’avons amené Corentin, après sa naissance, tu as fait une scène pas possible. Tu es fermée à tout ; tu t’es débrouillée pour empêcher tout dialogue avec mon épouse ; tu t’es débrouillée pour te fâcher avec moi. Sans connaître les gens, tu refuses de les voir d’emblée, de seulement essayer de savoir qui ils sont. C’est inadmissible.

– Je te dis que je veux bien voir Catalina, maintenant.

– Tu t’es demandée si l’accueil que tu lui as réservé quand je te l’ai présentée la première fois a été agréable pour elle ? Et pour moi ? Tu t’es demandée, une seule fois depuis, comment elle a pu vivre ce moment ? Tu te poses la question de savoir quelle sorte d’émotion ça peut me procurer à moi, ton fils ?… Avant d’agir comme tu l’as fait, il fallait réfléchir, il fallait te dire que si elle devenait ma femme, ça risquait de ne pas faciliter les relations par la suite ? Mais, tu ne t’es jamais posé la question, bien sûr.

         Que faire ? Que dire ? Pas d’arguments. Sylvain reprend :

– Après tout ça, tu sais ce que ça peut représenter pour nous, de passer Noël ou un autre moment avec toi ? Tu te demandes comment on peut vivre la chose ?

– Écoute-moi…

– Non. Savoir que tu vas être avec nous, que tu vas critiquer nos moindres faits et gestes, que tu vas juger chacune de nos actions, chaque mouvement et chaque parole de chacun d’entre nous, ça me détraque, ça me déglingue. Je ne veux pas que tu sois avec nous. Je ne veux pas reproduire ce que tu m’as fait vivre : je ne veux pas gâcher le Noël de mes gosses. Voilà ! Ceci dit, je vais raccrocher, tu passeras Noël où tu voudras, avec qui tu voudras. Et nous serons tranquilles chez nous. Au revoir, je viendrai te prendre le jour de ton rendez-vous pour te déposer chez le médecin.

         Il a raccroché.

         C’est clos, fini, classé.

Pour savoir si Léonie retrouvera un jour son fils, cliquez ci-dessous et commander ce livre sur la confiance en soi.

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Les Silences de Rochecombe 1. Léonie au détour de l'amitié

Roman sur la confiance en soi Les silences de Rochecombe Léonie
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Ils ont lu Les Silences de Rochecombe - 1. Léonie

« J’ai fini un nouveau livre intitulé « Les silences de Rochecombe : Leonie au détour de l’amitié » .

Dès le début j’ai été prise par cette histoire où l’amitié, la compréhension, la patience, la volonté d’aider son prochain et la quête de la rédemption sont des valeurs mises en avant.
 
Dans ce livre, on y découvre une Léonie aigrie qui évolue avec le temps. Qui tente d’accepter les autres tels qu’ils sont et qui tente d’ouvrir son cœur à elle-même mais aussi à son entourage. Son histoire est poignante et son destin en tant qu’enfant, jeune fille et jeune femme, triste. On comprend comment elle a pu en arriver à un tel comportement, mais tout comme Martine, on se dit que ce n’est pas une raison pour être renfermée et mauvaise vis à vis de tous et tout le monde.
 
J’aime cette idée où les rencontres fortuites laissent place à une sorte de destinée inévitable où l’histoire permet d’apprendre que Léonie et Martine sont liées par autre chose que leur amitié du début des années 2000. L’auteur a su en effet mettre en place un réseau à la fois complexe et évident de liens qui date de l’époque où Léonie était une jeune fille. Entre les flashbacks et l’histoire actuelle, tout est intelligemment placé et donne envie de lire sans s’arrêter. Ou si l’on s’arrête, on a qu’une seule envie : reprendre la lecture.
 
Un autre point positif qui peut semblait banal pour certains mais qui à mes yeux est important : les prénoms qui collent à leur âge, les évènements et lieux réels qui sont liés à leur époque et permettent de se situer, et pour certains de se souvenir. En effet, il est important pour moi de poser des prénoms corrects dans une histoire car c’est ce qui permet d’avoir la meilleur immersion littéraire, d’avoir une crédibilité très haute dans la narration. Et l’auteure a su trouver les prénoms parfaits pour ses protagonistes, qu’ils soient primaires ou secondaires. Les descriptions du village de Rochecombe sont magnifiques et donnent envie d’aller s’y promener. Les termes qu’utilise l’auteur pour certains plats et traditions m’ont donné envie d’essayer ces fameuses bourriols et d’aller me prélasser au niveau du lavoir où l’eau sort déjà chaude. Et le fait d’avoir eu quelques évènements historiques nationaux et mondiaux m’ont permis de cerner encore plus les saveurs de cette histoire.
 
Pour finir je dirais que la fin qui laisse entrevoir du positif, m’a laissé sur ma faim. Je sais que cela est volontaire et j’ai hâte de voir sortir le deuxième tome.
Est-ce que je vous le recommande ? Assurément. » Edwige L 
 

 » J’ai énormément apprécié votre personne, gentillesse, bienveillance.
J’ai donc fait la connaissance de Léonie et Martine.
Comme je vous l’ai dit je ne suis pas une littéraire mais je me suis laissée porter par votre agréable écriture jusqu’à la fin.
Belle histoire ! Belles personnes !
Merci beaucoup » Liliane R

 » J’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai lu en trois jours.  Je voulais toujours en savoir un peu plus et j’étais pressée de m’y replonger dedans. Il est très bien écrit et l’évolution de Léonie est facile à suivre. Vivement la suite » Colette B

Articles de presse à propos de ce livre sur la Confiance en soi Les Silences de Rochecombe

La Dépêche D’Auvergne – Saint-Flour, 16 septembre 2022

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